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Tout commence peu avant la prière du vendredi. Des éléments du commissariat de Yeumbeul-Comico étaient déployés sur l’axe pour organiser le trafic, une mission qu’ils estiment relever pleinement de leurs prérogatives. Mais leur présence est vite contestée par des gendarmes de la Brigade territoriale de Keur Massar, qui leur ordonnent de quitter les lieux au motif que la zone serait placée sous leur responsabilité exclusive.
Le refus des policiers fait monter la tension d’un cran. Les échanges deviennent secs, les positions se durcissent. L’atmosphère se charge encore davantage lorsqu’un peloton de renforts gendarmique débarque, déclenchant la stupeur des riverains et des automobilistes présents.
L’affrontement physique, redouté par tous, sera finalement évité. Mais deux policiers sont maîtrisés puis conduits de force à la brigade. La scène, captée par un témoin, circulera dans la foulée sur les réseaux sociaux, contribuant à amplifier l’émoi.
Informé de la situation, le chef du commissariat de Yeumbeul-Comico se rend immédiatement sur place avec plusieurs agents. Les deux forces se retrouvent alors face à face dans l’enceinte même de la brigade, dans une ambiance électrique. Les responsables parviennent néanmoins à calmer les esprits et à désamorcer la situation.
Selon L’Observateur, cet épisode n’a rien d’exceptionnel. Le journal souligne que ce type de friction découle souvent de zones d’intervention mal délimitées, qui poussent policiers et gendarmes à se disputer le terrain. Une ambiguïté chronique déjà à l’origine d’incidents par le passé, notamment à Zac Mbao entre policiers et gendarmes de la Zone franche.
Le refus des policiers fait monter la tension d’un cran. Les échanges deviennent secs, les positions se durcissent. L’atmosphère se charge encore davantage lorsqu’un peloton de renforts gendarmique débarque, déclenchant la stupeur des riverains et des automobilistes présents.
L’affrontement physique, redouté par tous, sera finalement évité. Mais deux policiers sont maîtrisés puis conduits de force à la brigade. La scène, captée par un témoin, circulera dans la foulée sur les réseaux sociaux, contribuant à amplifier l’émoi.
Informé de la situation, le chef du commissariat de Yeumbeul-Comico se rend immédiatement sur place avec plusieurs agents. Les deux forces se retrouvent alors face à face dans l’enceinte même de la brigade, dans une ambiance électrique. Les responsables parviennent néanmoins à calmer les esprits et à désamorcer la situation.
Selon L’Observateur, cet épisode n’a rien d’exceptionnel. Le journal souligne que ce type de friction découle souvent de zones d’intervention mal délimitées, qui poussent policiers et gendarmes à se disputer le terrain. Une ambiguïté chronique déjà à l’origine d’incidents par le passé, notamment à Zac Mbao entre policiers et gendarmes de la Zone franche.
