Venu animer, hier, une conférence des étudiants de l’Ecole supérieur professionnelle (Esup) sur le thème : «Apprendre pour réussir, c’est bien. Mais Apprendre pour entreprendre, c’est encore mieux», le Directeur général de l’Office nationale de la formation professionnelle (Onfp), a axé sa communication sur deux points essentiels. A savoir : l’attitude et l’aptitude.
«L’aptitude, c’est connaître, comprendre, maîtriser ce que l’on fait. C’est important pour entreprendre. Et l’attitude à avoir dans une entreprise, c’est la position qui permet à l’individu d’avoir confiance en lui, d’entreprendre avec assurance et d’avoir une position dynamique par rapport à une entreprise», a confié Sanoussi Diakhité.
Et en ce qui concerne l’aptitude qui est la qualification, le Directeur général de l’Onfp soutient qu’il ne faut pas se résigner sur la qualification pour pouvoir entreprendre. «Mais, j’incite également les jeunes à avoir une démarche pour l’insertion professionnelle et comprendre que le marché du travail est un système dans lequel, il faut s’introduire. Il faut aussi comprendre que le marché du travail, et cela c’est chez nous, est caractérisé par une prédominance du secteur informel et de l’agriculture», a dit M. Diakhité.
«C’est dans ces niches-là qu’il faut aller trouver son créneau. Et il faut accepter de s’insérer et ensuite de gravir les échelons. Il ne faudrait pas dès le départ vouloir être à un niveau d’insertion égale à son niveau», a ajouté le Dg de l’Onfp, par ailleurs inventeur de la machine à décortiqueuse de fonio, qui a cité plusieurs exemples de personnes qui ont réussi dans la vie et qui ont démarré très bas. A cet effet, le conférencier a indiqué que «le financement n’est pas une condition à l’entreprenariat».
Au nom de l’Esup, Mme Imelda s’est dit satisfaite de la communication du Directeur général de l’Onfp qui consiste à édifier les étudiants qui avaient encore des difficultés à voir plus claire sur le chemin à emprunter.
Flashinfos.net
«L’aptitude, c’est connaître, comprendre, maîtriser ce que l’on fait. C’est important pour entreprendre. Et l’attitude à avoir dans une entreprise, c’est la position qui permet à l’individu d’avoir confiance en lui, d’entreprendre avec assurance et d’avoir une position dynamique par rapport à une entreprise», a confié Sanoussi Diakhité.
Et en ce qui concerne l’aptitude qui est la qualification, le Directeur général de l’Onfp soutient qu’il ne faut pas se résigner sur la qualification pour pouvoir entreprendre. «Mais, j’incite également les jeunes à avoir une démarche pour l’insertion professionnelle et comprendre que le marché du travail est un système dans lequel, il faut s’introduire. Il faut aussi comprendre que le marché du travail, et cela c’est chez nous, est caractérisé par une prédominance du secteur informel et de l’agriculture», a dit M. Diakhité.
«C’est dans ces niches-là qu’il faut aller trouver son créneau. Et il faut accepter de s’insérer et ensuite de gravir les échelons. Il ne faudrait pas dès le départ vouloir être à un niveau d’insertion égale à son niveau», a ajouté le Dg de l’Onfp, par ailleurs inventeur de la machine à décortiqueuse de fonio, qui a cité plusieurs exemples de personnes qui ont réussi dans la vie et qui ont démarré très bas. A cet effet, le conférencier a indiqué que «le financement n’est pas une condition à l’entreprenariat».
Au nom de l’Esup, Mme Imelda s’est dit satisfaite de la communication du Directeur général de l’Onfp qui consiste à édifier les étudiants qui avaient encore des difficultés à voir plus claire sur le chemin à emprunter.
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