Depuis le 7 octobre, plus de 1 400 Israéliens ont été tués, dont 341 soldats, et l'armée israélienne fait état de 240 personnes retenues en otage par le Hamas. Le ministère de la Santé du Hamas annonce ce 4 novembre un bilan de 9 488 morts palestiniens, dont 3 900 enfants.
Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas a annoncé que 12 personnes ont été tuées dans un bombardement israélien ayant touché une école de l'ONU où s'abritent des déplacés, dans un camp de réfugiés de la bande de Gaza.
« Je suis horrifié par l'attaque rapportée à Gaza sur un convoi d'ambulances à l'extérieur de l'hôpital d'al-Shifa. Les images des corps éparpillés dans la rue devant l'hôpital sont déchirantes », a déclaré le secrétaire général Antonio Guterres, dans un communiqué. Plus tôt, l'armée israélienne a confirmé avoir visé une ambulance à l'entrée du plus grand hôpital de Gaza-ville, assurant qu'elle était « utilisée par une cellule terroriste du Hamas ».
Dans un discours très attendu prononcé à la mi-journée vendredi 3 novembre, le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a indiqué qu'une « guerre totale » était « réaliste » si Israël continuait à bombarder Gaza. Il a rendu les États-Unis « responsables » de la situation.
Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas a annoncé que 12 personnes ont été tuées dans un bombardement israélien ayant touché une école de l'ONU où s'abritent des déplacés, dans un camp de réfugiés de la bande de Gaza.
« Je suis horrifié par l'attaque rapportée à Gaza sur un convoi d'ambulances à l'extérieur de l'hôpital d'al-Shifa. Les images des corps éparpillés dans la rue devant l'hôpital sont déchirantes », a déclaré le secrétaire général Antonio Guterres, dans un communiqué. Plus tôt, l'armée israélienne a confirmé avoir visé une ambulance à l'entrée du plus grand hôpital de Gaza-ville, assurant qu'elle était « utilisée par une cellule terroriste du Hamas ».
Dans un discours très attendu prononcé à la mi-journée vendredi 3 novembre, le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a indiqué qu'une « guerre totale » était « réaliste » si Israël continuait à bombarder Gaza. Il a rendu les États-Unis « responsables » de la situation.