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Entre certains distributeurs des produits Orange, le réseau ne passe plus. Les demi-grossistes accusent en effet les grossistes de s’enrichir illicitement sur leur dos. Dans une déclaration reçue à flashinfos.net, hier, ces derniers ont dénoncé une vaste entreprise d’arnaque qui ne dit pas son nom dans cette boîte.
«Les grossistes des cartes de recharges téléphoniques Orange ont créé un lobby au détriment des demi-grossistes et détaillants. Les grossistes gagnent des millions de francs Cfa par jour sur le dos des demi-grossistes et détaillant. Nous les demi-grossistes, il nous faut vendre une valeur de 100 000 francs Cfa pour juste avoir 1000 francs Cfa. Les détaillants eux n’ont rien du tout. Et pourtant, ceux sont eux qui sont jour et nuit sur le terrain à braver la pluie et le soleil», dénonce Abdourahmane Barry, dans flashinfos.net
Le président de l’Union des distributeurs de produits de télécommunications du Sénégal soutient que «les grossistes ont créé un bloc qui leur permettent de passer obligatoirement toutes leurs commandes Seddo à leurs représentants et après ils font le partage sur chaque puce. Ce qui leur permettent de gagner des millions de francs Cfa par jour. Et c’est plus d’une trentaine de millions qu’ils gagnent illégalement par mois. Aujourd’hui, ils ont verrouillé le système à toute autre personne. La preuve, le citoyen qui veut investir là-bas se verra privé d’agrément».
Ce qui est dommage, d’après le Secrétaire général de ladite union qui regrette dans la foulé le faite que les autorités compétentes ne soient pas informées d’une telle chose. «Ni l’Etat, ni le Directeur général de la Sonatel ne sont au courant de ces pratiques nébuleuses des distributeurs grossistes de Orange. Pourtant, ceux sont les demi-grossistes qui maîtrisent le terrain et qui bravent le soleil et la pluie pour vendre les produits», clame Cheikh Goudiaby.
D’ailleurs, révèle-t-il, «si les jeunes ont abandonné les pirogues pour se lancer dans le marché de l’emploi, précisément dans la vente des produits Orange, l’Etat doit penser à les sécuriser».
Ainsi, l’Union des agents des télécommunications dit avoir introduit des demandes d’audiences auprès du chef du gouvernement, du président de l’Assemblée nationale, du Directeur général de la Sonatel, de la présidente de l’Office nationale anti-corruption (Ofnac), du Directeur général de l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (Artp).
Ainsi, Abdourahmane Barry et ses camarades informent que le combat ne fait que commencer et qu’ils sont prêts à en découdre jusqu’au bout avec ces grossistes..
Flashinfos.net
«Les grossistes des cartes de recharges téléphoniques Orange ont créé un lobby au détriment des demi-grossistes et détaillants. Les grossistes gagnent des millions de francs Cfa par jour sur le dos des demi-grossistes et détaillant. Nous les demi-grossistes, il nous faut vendre une valeur de 100 000 francs Cfa pour juste avoir 1000 francs Cfa. Les détaillants eux n’ont rien du tout. Et pourtant, ceux sont eux qui sont jour et nuit sur le terrain à braver la pluie et le soleil», dénonce Abdourahmane Barry, dans flashinfos.net
Le président de l’Union des distributeurs de produits de télécommunications du Sénégal soutient que «les grossistes ont créé un bloc qui leur permettent de passer obligatoirement toutes leurs commandes Seddo à leurs représentants et après ils font le partage sur chaque puce. Ce qui leur permettent de gagner des millions de francs Cfa par jour. Et c’est plus d’une trentaine de millions qu’ils gagnent illégalement par mois. Aujourd’hui, ils ont verrouillé le système à toute autre personne. La preuve, le citoyen qui veut investir là-bas se verra privé d’agrément».
Ce qui est dommage, d’après le Secrétaire général de ladite union qui regrette dans la foulé le faite que les autorités compétentes ne soient pas informées d’une telle chose. «Ni l’Etat, ni le Directeur général de la Sonatel ne sont au courant de ces pratiques nébuleuses des distributeurs grossistes de Orange. Pourtant, ceux sont les demi-grossistes qui maîtrisent le terrain et qui bravent le soleil et la pluie pour vendre les produits», clame Cheikh Goudiaby.
D’ailleurs, révèle-t-il, «si les jeunes ont abandonné les pirogues pour se lancer dans le marché de l’emploi, précisément dans la vente des produits Orange, l’Etat doit penser à les sécuriser».
Ainsi, l’Union des agents des télécommunications dit avoir introduit des demandes d’audiences auprès du chef du gouvernement, du président de l’Assemblée nationale, du Directeur général de la Sonatel, de la présidente de l’Office nationale anti-corruption (Ofnac), du Directeur général de l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (Artp).
Ainsi, Abdourahmane Barry et ses camarades informent que le combat ne fait que commencer et qu’ils sont prêts à en découdre jusqu’au bout avec ces grossistes..
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