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A Sangalkam-Noflaye, les déchets et eaux usées déversés par la société Russe Atlantik Sea Food, après transformation de ses produits halieutiques, dans un puits traditionnel transformé par l’exploitation en fosse, a fait sortir les populations de leurs gonds. Ne pouvant plus supporter cette agression de leur environnement par les russes, le Collectif des jeunes de Sangalkam-Noflaye a décidé de passer à la vitesse supérieure. Le Collectif a déposé une plainte au niveau de la Brigade de gendarmerie de l’environnement à Dakarnav pour protester contre l’écoulement des eaux usées et le déversement des déchets de production à l’air libre et de manière continue.
Cela, en violation des normes environnementales au regard des conséquences qu’ils peuvent avoir sur la nappe phréatique. « La société Atlantik Sea Food installée à Noflaye, dans la commune de Sangalkam, utilise un puits traditionnel pour verser toutes ces eaux usées et toxiques dans le puits. C’est-à-dire le puits est utilisé comme fosse septique pour verser ses eaux de process. Et quand le puits est rempli, les eaux de process se déversent dans la nature, en plus des mauvaises odeurs causées par les eaux. La nappe phréatique est contaminée. Et malgré ça, ils continuent de déverser cette eau dans le puits», a dénoncé Moustapha Tine, président du Collectif des jeunes de Sangalkam-Noflay.
Revenant sur les conséquences de ces eaux usées et déchet déversés, le Collectif dit avoir commandité des analyses au niveau du laboratoire d’analyse et d’essais de l’Université Cheikh Anta Diop. «Et les résultats ont révélé que l’échantillon présente un fort taux d’azote. Par conséquent, il nécessite un prétraitement avant son évacuation, sous peine de contaminer la nappe et l’environnement. Mais dans tout ça, nous déplorons le silence complice du maire de Sangalkam, Oumar Guèye», a renchéri Moustapha Tine.
Le silence complice du maire Oumar Guèye dénoncé
A cela s’ajoute, dit-il, le constat d’usage fait par un huissier de justice sur demande de la Suarl African Oil Gas Corporation. Notamment pour éviter tout amalgame, parce qu’étant propriétaire du lot n°7 qui abrite l’usine de la société incriminée. «Le problème des eaux usées et déchets est un vrai danger pour l’environnement. Parce que ça peut nuire à la santé et ça viole aussi les normes environnementales», a souligné Maxime Palamarchuk de la Suarl African Oil Gas Corporation.
Il faut souligner qu’un autre dossier de la Société Atlantik Sea Food est aussi pendant devant la justice. Il concerne la plainte des actionnaires minoritaires de l’usine. Ces derniers s’insurgeaient contre la suppression de la part sociale. Ce qui amène la part de 20% des actionnaires minoritaires à zéro. Depuis 2 ans, le sieur Maxime Palamarchuk et ses amis attendent à ce que justice soit faite sur cette affaire.
Flashinfos.net
Cela, en violation des normes environnementales au regard des conséquences qu’ils peuvent avoir sur la nappe phréatique. « La société Atlantik Sea Food installée à Noflaye, dans la commune de Sangalkam, utilise un puits traditionnel pour verser toutes ces eaux usées et toxiques dans le puits. C’est-à-dire le puits est utilisé comme fosse septique pour verser ses eaux de process. Et quand le puits est rempli, les eaux de process se déversent dans la nature, en plus des mauvaises odeurs causées par les eaux. La nappe phréatique est contaminée. Et malgré ça, ils continuent de déverser cette eau dans le puits», a dénoncé Moustapha Tine, président du Collectif des jeunes de Sangalkam-Noflay.
Revenant sur les conséquences de ces eaux usées et déchet déversés, le Collectif dit avoir commandité des analyses au niveau du laboratoire d’analyse et d’essais de l’Université Cheikh Anta Diop. «Et les résultats ont révélé que l’échantillon présente un fort taux d’azote. Par conséquent, il nécessite un prétraitement avant son évacuation, sous peine de contaminer la nappe et l’environnement. Mais dans tout ça, nous déplorons le silence complice du maire de Sangalkam, Oumar Guèye», a renchéri Moustapha Tine.
Le silence complice du maire Oumar Guèye dénoncé
A cela s’ajoute, dit-il, le constat d’usage fait par un huissier de justice sur demande de la Suarl African Oil Gas Corporation. Notamment pour éviter tout amalgame, parce qu’étant propriétaire du lot n°7 qui abrite l’usine de la société incriminée. «Le problème des eaux usées et déchets est un vrai danger pour l’environnement. Parce que ça peut nuire à la santé et ça viole aussi les normes environnementales», a souligné Maxime Palamarchuk de la Suarl African Oil Gas Corporation.
Il faut souligner qu’un autre dossier de la Société Atlantik Sea Food est aussi pendant devant la justice. Il concerne la plainte des actionnaires minoritaires de l’usine. Ces derniers s’insurgeaient contre la suppression de la part sociale. Ce qui amène la part de 20% des actionnaires minoritaires à zéro. Depuis 2 ans, le sieur Maxime Palamarchuk et ses amis attendent à ce que justice soit faite sur cette affaire.
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