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Dr Mamadou Diombéra, vous être le nouveau Directeur du Crous de Ziguinchor. Comment est-ce que vous avez accueilli cette nomination ?
Je tiens tout d’abord à remercier son Excellence le Président Macky Sall pour m’avoir porté à la tête de cette nouvelle institution qui constitue d’ailleurs une institution forte pour l’histoire de Ziguinchor. Parce que depuis lors, les œuvres étaient gérer à partir Dakar. Actuellement, nous avons la proximité par rapport les besoins des étudiants. Et c’est la raison pour laquelle, nous tenons à féliciter et 1000 fois d’ailleurs le président de la république pour avoir mis à la disposition des populations Casamançaise cet instrument qui permet de répondre aux besoins les étudiants, mais également des besoins de la population à travers la création massif d’emplois.
Aujourd’hui quelles sont vos priorités à la tête du Crous de Ziguinchor ?
« Les priorités, elles sont nombreuses et elles se situent à tous les niveaux. L’objectif, c’est de satisfaire les étudiants à travers la restauration, à travers l’hébergement, mais également la prise en charge médicale. Chose sur laquelle, nous sommes en train de travailler depuis notre nomination et je crois qu’avec l’aide de Dieu, et également avec la bonne volonté du chef de l’Etat pour faire de Ziguinchor un pôle de développement sous-régional, nous ne manquerons pas à l’université Assane Seck de Ziguinchor la vocation qu’elle veut, celle d’une université d’Excellence, du développement de la région, mais au service du développement de la sous-région et du continent.
La réussite de cette mission passera par une gestion participative, êtes-vous prêt à travailler dans ce sens ?
On entretien un excellent rapport avec toute la communauté universitaire. Je suis enseignant chercheur, j’ai été porté à la tête de ce Crous et j’ai associé l’ensemble des partenaires de l’université à savoir les enseignants, les syndicats d’enseignants, les syndicats de personnel administratif et technique, les étudiants sont au cœur de notre préoccupation. C’est pourquoi, nous faisons ce que l’on appelle la gestion participative.
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