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Arrivé en France en 2010 avec un visa étudiant, l’attaquant sénégalais était promis à un bel avenir dans le football mais des problèmes de santé ont fait voler ses rêves en éclats. Le jeune homme a connu la galère et même failli devoir quitter le territoire français. Il se souvient : « J’ai touché le fond mais je me suis battu et relevé ».
À force de ténacité, il réussit à s’intégrer, se marie à Fontenay-aux-Roses en 2015, est naturalisé en 2022 et trouve du travail après avoir enchaîné les petits boulots. Et c’est par le biais de son entreprise Media Transports, en partenariat avec Coca Cola, qu’il a candidaté pour le portage de la flamme aux JO de Paris.
Père de trois enfants, il a aussi créé l’association Moov Child qui agit dans le domaine du sport et de l’éducation : « En France, l’accès aux livres est un privilège ! Notre objectif est de créer des bibliothèques dans les écoles sénégalaises. Et nous sensibilisons les jeunes sportifs aux études car une blessure peut tout changer ».
Baboucar a pris sa revanche et voue un profond respect au footballeur Sadio Mané, « qui n’a pas oublié d’où il venait et a construit plusieurs équipements au Sénégal ».
À force de ténacité, il réussit à s’intégrer, se marie à Fontenay-aux-Roses en 2015, est naturalisé en 2022 et trouve du travail après avoir enchaîné les petits boulots. Et c’est par le biais de son entreprise Media Transports, en partenariat avec Coca Cola, qu’il a candidaté pour le portage de la flamme aux JO de Paris.
Père de trois enfants, il a aussi créé l’association Moov Child qui agit dans le domaine du sport et de l’éducation : « En France, l’accès aux livres est un privilège ! Notre objectif est de créer des bibliothèques dans les écoles sénégalaises. Et nous sensibilisons les jeunes sportifs aux études car une blessure peut tout changer ».
Baboucar a pris sa revanche et voue un profond respect au footballeur Sadio Mané, « qui n’a pas oublié d’où il venait et a construit plusieurs équipements au Sénégal ».
